2016, me semble-t-il, nous a offert un printemps (mai/juin) totalement pourri ( le plus pluvieux sur Paris depuis 150 ans - certes le vignoble n'affole pas les foules), frais qui de mémoire, restera comme l'un des pires de ces dernières années.
A l'inverse, les mois de juillet/août ont connu un ensoleillement constant, sans pluie. Un des plus beaux été de la dernière décennie.
Sans connaître la réalité des régions viticoles ni celle des domaines, ce climat surprenant ne me semble pas aller dans le sens d'une récolte équilibrée, saine et qualitative...